Toujours les mêmes conversations. Pas vraiment de perspectives. Inquiétudes. Absentéisme. “Je voudrais bien changer de poste même si c’est pas trop le moment ». « On n’innove plus. Et les innovations quand on en a, on ne les décide pas ». « Franchement, j’ai le sentiment que, dans ma boîte, ils ne savent pas où ils vont…”.
De la lente érosion du système managérial…
Ce n’est pas comme si l’époque n’appelait pas à un sursaut : transition écologique, santé, éducation, formation, services à la personne, agriculture, industrie, innovation technologique, IA, alimentation, transport, énergie, dépendance, économie de l’attention … tous les secteurs portent chacun un ou plusieurs défis majeurs.
Alors, comment dans une telle période, une bonne partie de nos entreprises, de nos administrations, suscitent-elles le désengagement progressif, une si constante démotivation ? Les défis du présent et du futur ne sont-ils pas assez forts pour engendrer du sens ? Ou est-ce le mode de fonctionnement, la culture, les croyances, le management et même, disons-le, le leadership, en un mot la nature du système humain de ces organisations qui n’a pas su évoluer, changer d’époque ?
Et ne pas questionner un système humain qui affaiblit l’énergie en continu, n’est pas qu’une question RH, c’est un enjeu stratégique. Le collectif humain est ce qui constitue la réalité de l’organisation, engendre sa force créative, génère ses capacités productives, relationnelles, son intelligence de l’action, sa capacité apprenante, d’anticipation, d’innovation, sa puissance d’évolution, sa singularité.
Osons regarder le système dans son ensemble…
Alors que nous observons un accroissement des défis de toutes natures, nous constatons parallèlement un effondrement du questionnement managérial dans beaucoup d’organisation. Cet effet de ciseaux est un véritable risque pour notre avenir. Le fait est que les fausses solutions ont abondé et que les partisans d’un retour aux organisations verticales et mécanistes font entendre leur voix. Leur voie serait en termes d’énergie collective bien plus contreproductive.
Pourtant le sujet est simple. Il suffit de le regarder dans son ensemble. Plus de complexité et d’interactions dans un contexte très évolutif nécessite plus d’intelligence collective dans le quotidien de l’entreprise. Cette intelligence collective devient source de performance et de capacité opérationnelle si :
- l’intelligence collective questionne la trajectoire, c’est à dire à la fois la stratégie et le sens de l’entreprise
- l’intelligence collective opérationnelle est maîtrisée par les managers
- l’intelligence collective constitue le moteur humain de l’entreprise
- l’intelligence collective est continue
Cette capacité d’intelligence collective globale et continue s’active par les dynamiques collaboratives, une architecture managériale circulaire à la portée de tous, leaders, managers, collaborateurs.
C’est le collectif humain qui porte l’intelligence de l’entreprise
Il y a une interdépendance croissante manifeste aujourd’hui par l’intelligence collective entre la stratégie qui engage, la mobilisation sur la performance opérationnelle qui permet de se réaliser et le collectif humain qui porte la réalité de cette stratégie et de cette performance et qui aspire à grandir en confiance.
Plus il y aura d’IA, pour faire, produire, anticiper, suggérer, proposer, plus il sera nécessaire d’être collectivement intelligent à l’échelle de l’entreprise pour permettre d’agir ensemble, de s’adapter et d’évoluer en continu. Aujourd’hui, c’est parce qu’il n’y a pas de conduite entre ces réalités que l’entreprise dysfonctionne.
C’est pour justement associer stratégiquement, humainement, opérationnellement, toutes ces réalités, en une même dynamique porteuse de sens, d’action et de cohésion que In Principo devient Agence de Facilitation Stratégique.
Nous sommes une Agence de Facilitation Stratégique, notre mission est de rendre votre collectif acteur, moteur et créateur de sa propre dynamique d’évolution.
Avec nous, investissez dans l’énergie humaine, l’énergie la plus pertinente pour avancer dans les turbulences, l’incertitude, la transition.